Supprimer mon compte insta m'a permis de prendre beaucoup de distance avec mon tel. J'ai tendance à le laisser dans une autre pièce depuis que j'ai appris que le simple fait qu'il soit dans la même pièce (même dans un sac ou un tiroir) nous rend moins concentrés. Le grand pas à faire maintenant est de retrouver le travail en silence (je suis accro aux fictions radiophoniques)
Merci Laure pour ton retour ! Je ne savais pas que le simple fait de savoir son téléphone dans la pièce pouvait perturber. Je te comprends, c’est bizarre de se retrouver dans le calme complet. Tu trouves que les fictions t’empêchent de te concentrer ? Mon compagnon ne peut pas se concentrer sans écouter quelque chose mais je suppose que ça dépend des métiers. 😊
Je suis née en 1993, internet, MSN et les blogs sont arrivés quand j'étais au collègue. J'ai vraiment senti un palier à mon entrée au lycée quand facebook est devenu THE place to be.
Avec les années, Instagram et compagnie, je suis moi aussi devenue accro. Au point où je me suis achetée un dumbphone il y a quelques années. Je détestais l'image de moi qui scroll la vie des autres plutôt que de vivre la mienne... Puis j'ai repris un smartphone "par praticité" et les addictions sont revenus. En ce moment, je réfléchis à reprendre un dumbphone. C'est radical mais j'ai souvenir d'avoir eu la sensation d'enlever un voile flou de mes yeux et de mon cerveau. Ne plus avoir de smartphone, c'est une libération mentale.
Merci Émilie pour ton partage ! Je ne connaissais pas du tout le dumbphone 😯 je suis alignée avec toi sur le voile flou. Quand j’ai le nez dans le téléphone et les réseaux, j’ai aussi l’impression d’avoir un brouillard mental qui m’empêche de réfléchir/ d’avoir les idées claires.
Comme quoi chacun est différent ! Couper toutes les notifs me provoque un FOMO pas possible, et je ne pense plus qu'à mon téléphone.
Forest, je m'en sers souvent pour forcer des moments sans écrans, je mets la durée maximale, pour donner cette impulsion de "aller, pendant 2h, je m'occupe autrement" et ça fonctionne plutôt pas mal !
C'est au restaurant que le constat est affolant, le nombre de couples avec le téléphone sur la table. Au moindre truc se retrouve le nez sur le téléphone plutôt que de partager un moment ensemble, je fais vraiment attention maintenant a ne plus le faire.
Je comprends, ça me faisait ça aussi au début. Le FOMO c’est terrible. On m’a appris à désactiver les notifs au boulot, sur Slack. On l’apprend a chaque nouveau dans l’équipe car au debut, on clique sur absolument tous les canaux allumés pour “apprendre” et cela devient addictif et contre-productif.
Purée je te rejoins pour les couples. Je vois vraiment la diff de ne plus avoir le tel. On aborde des sujets plus profonds ou on débat sur de nouveaux sujets. 🤩
Merci pour ton partage! Je m'y reconnais un peu. Je suis venue le plus tard possible au téléphone portable. Je n'ai pas mes mails sur mon tel et j'ai désactivé les notifs. J'ai créé un compte Insta pendant la période coco mais je suis dans un dilemme total en ce moment, c'est pour cette raison principale que je suis venue sur substack. Je ne veux pas que mes contenus soient utilisés par l'imbécillité artificielle... N'étant pas en Europe, je n'ai pas pu m'y opposer fin mai. Rester ou partir d'insta , telle est la question...
Merci Flo pour ton partage ! Tu trouves ton bonheur sur Substack ? Je trouve les contenus plus authentiques et plus construits. C'est une plateforme où l'on peut aussi prendre son temps, sans pression. 😊
Salut Margaux, oui il y a plus de profondeur que sur Insta de manière générale. Beaucoup moins d'interactivité par contre. Je suis encore à trouver mes marques peut-être. Je débute ici. Merci pour ton message!
Oser ce retour d’expérience va faire écho chez plein d’entre nous.
Pour ma part, ce déficit de l’attention n’est pas intervenu avec les réseaux sociaux mais avec l’arrivée d’internet dans les années 2000.
C’était alors cette nouvelle fenêtre qui allait remplacer la télé car on avait alors la possibilité de gérer ses surfs et ses lectures.
Alors que la télé, on subissait une grille de programme, et si vraiment plus rien ne nous plaisait on quittait alors l’écran.
L’arrivée d’internet a eu des conséquences sur mon quotidien : en pleine création d’entreprise, au lieu d’être « focused », j’ai erré de site en site pour revenir à la maison, frustré de ne pas avoir accompli ce que j’imaginais en début de journée.
Agacé, ce sont mes deux grands enfants qui en faisaient les frais de ne pas avoir un papa dispo.
On sous estime encore très largement l’impact négatif d’utiliser ce type de ressources maladroitement.
Merci Yann pour ton retour d'expérience ! Je vois totalement l'effet d'Internet. Cela a commencé comme ça aussi chez moi, finalement. Mon papa adore les nouvelles technologies donc j'ai été très vite absorbée par le PC et les jeux vidéos. En primaire, c'était de chouettes parties avec mon père et mon frère, au collège c'est devenu un refuge, surtout avec les débuts de Youtube. Internet est une source très riche de contenus, il faut juste réussir à garder une certaine distance et c'est de moins en moins simple avec l'évolution des algorithmes qui font tout pour nous garder sur les plateformes.
C’est que beaucoup de ces « ressources » sont des apps qui n’ont pas du tout été conçues pour nous faire grandir ou nous enrichir mais pour nous rendre captifs.
Elles utilisent notre câblage neuronal et nos biais cognitifs comme notre besoin viscéral de trouver de l’information autour de nous !
Vous rendre compte de ce que ça vous à couté et l’impact que cela a eu sur vos enfants, c’est un pas immense.
Bonjour Margaux, Team 1983 donc j'ai passé mon enfance et mon adolescence à jouer dehors avec mes copines, à faire du vélo. Les réseaux sociaux et les smartphones n'existaient pas à l'époque lol.
Je passe pas mal de temps aussi sur le téléphone mais le soir je regarde la TV avec ma fille, je fais du piano ou je lis. Je suis accro aussi, je ne pourrais pas faire une journée sans, je vais désactiver aussi les notifications de certaines applis, excellente idée !
Tu me diras ce que ça donne pour toi de couper les notifs, Carine 😉 ! Je sais qu'au début, on a qu'une seule envie : ouvrir les applications même sans les notifs... mais sur le long terme on apprend à les oublier.
Ah oui, pour moi couper les notifs ça ne fonctionne pas (même si je ne les ai pas réactivées entre temps), j'ai comme un timer dans ma tête qui me dit "tiens, ça fait un moment que tu n'as pas regardé ce qu'il y a de neuf sur ...".
J'arrive à le faire beaucoup moins souvent, mais je sens que j'ai vraiment un automatisme au bout des doigts au moindre signe d'ennui...
Par contre, mettre mon téléphone loin de moi, ça fonctionne bien ! Et heureusement c'est une habitude à laquelle j'arrive à me tenir.
Oui, chacun doit trouver sa méthode. Je comprends tout à fait l'automatisme, on se retrouve plongée dans les applications sans même s'en rendre compte. 😂
Pour moi, le constat de mon addiction a été pendant une retraite de Yoga, où je devais à l'arriver éteindre mon téléphone et le mettre dans une boîte fermée, détenue par notre prof, pour les 4 jours suivants. Ca m'a provoqué une anxiété incroyable en amont, et j'ai été physiquement mal la 1ère journée...
Constat au 4ème jour : j'ai rallumé mon téléphone sans hâte, et... je l'ai re-éteint au bout de 5mn, affolée par les centaines de notifications qui apparaissaient sur mon écran. J'ai encore des moments où je me laisse happer, mais ça m'a permis comme toi de prendre de la distance, et d'être plus dans le moment présent, avec ce/ceux qui compte.nt (ce qui était plutôt une bonne chose, car un heureux événement est arrivé en suivant, avec tous les bouleversements que cela implique)!
Merci Mélodie pour ton retour d'expérience, c'est radical la retraite de yoga ! 😁 4 jours complets sans téléphone, ça doit faire bizarre au début. Le fait d'être entouré et d'avoir plein d'activités autour doit aider.
Team 83 par ici ! Comme je l’ai lu dans un commentaire, on fait partie de cette jeunesse qui passait ses journées dehors, avec les copains et les copines.
À notre époque, avoir un téléphone portable, c’était déjà une révolution, même avant qu’il ait les fonctionnalités des smartphones.
C’est fou quand on y pense.
Bref, de mon côté, même désactiver les notifications ne suffit plus…
La seule méthode qui fonctionne vraiment pour moi, c’est la manière radicale : j’ai désactivé mes comptes Facebook et Instagram ce matin. (Deuxième fois depuis le début de l’année…).
C’est une vraie drogue, ces réseaux.
Mais je pense que chacun doit trouver sa propre méthode, son propre rythme.
On est tous différents, et il n’y a pas de solution universelle, juste celle qui nous fait du bien.
Née en 1992, forcément j’ai passé une partie de ma jeunesse sans téléphone ni ordi. J’en ai eu un à 12 ans mais seulement pour jouer au sims 2 ! Après j’ai eu un téléphone Nokia pour le collège histoire de prévenir en cas de soucis de bus. J’ai été heureuse de grandi sans tout ça mais quand Facebook, Twitter et Instagram sont arrivés , forcément j’ai fait comme tout le monde, j’ai testé et je suis aussi vite devenu accro mais en ayant toujours beaucoup de recul. Aujourd’hui vivant seule dans mon appartement et n’ayant que des amies en ligne et personnes dans la réalité, heureusement que les réseaux sociaux sont là mais au final ils laissent un grand vide chez moi malgré tout. C’est un cercle vicieux quand la solitude frappe mais j’essaye toujours de ne pas tomber dans le piège du scroll infini (spoiler : c’est pas toujours les jours une victoire).
Un très bon post et très beau compte que je découvre petit à petit ☺️🤍
Un sujet qui peut sembler anodin, mais c'est une vraie préoccupation pour nombre d'entre nous ! Quand on devient parent et que les enfants grandissent, c'est aussi souvent source de tensions 😬. J'en ai fait une newsletter : Les écrans de la discorde 🤪
Supprimer mon compte insta m'a permis de prendre beaucoup de distance avec mon tel. J'ai tendance à le laisser dans une autre pièce depuis que j'ai appris que le simple fait qu'il soit dans la même pièce (même dans un sac ou un tiroir) nous rend moins concentrés. Le grand pas à faire maintenant est de retrouver le travail en silence (je suis accro aux fictions radiophoniques)
Merci Laure pour ton retour ! Je ne savais pas que le simple fait de savoir son téléphone dans la pièce pouvait perturber. Je te comprends, c’est bizarre de se retrouver dans le calme complet. Tu trouves que les fictions t’empêchent de te concentrer ? Mon compagnon ne peut pas se concentrer sans écouter quelque chose mais je suppose que ça dépend des métiers. 😊
Bonjour,
J'ai vraiment apprécié lire cette lettre.
Je suis née en 1993, internet, MSN et les blogs sont arrivés quand j'étais au collègue. J'ai vraiment senti un palier à mon entrée au lycée quand facebook est devenu THE place to be.
Avec les années, Instagram et compagnie, je suis moi aussi devenue accro. Au point où je me suis achetée un dumbphone il y a quelques années. Je détestais l'image de moi qui scroll la vie des autres plutôt que de vivre la mienne... Puis j'ai repris un smartphone "par praticité" et les addictions sont revenus. En ce moment, je réfléchis à reprendre un dumbphone. C'est radical mais j'ai souvenir d'avoir eu la sensation d'enlever un voile flou de mes yeux et de mon cerveau. Ne plus avoir de smartphone, c'est une libération mentale.
Merci Émilie pour ton partage ! Je ne connaissais pas du tout le dumbphone 😯 je suis alignée avec toi sur le voile flou. Quand j’ai le nez dans le téléphone et les réseaux, j’ai aussi l’impression d’avoir un brouillard mental qui m’empêche de réfléchir/ d’avoir les idées claires.
Comme quoi chacun est différent ! Couper toutes les notifs me provoque un FOMO pas possible, et je ne pense plus qu'à mon téléphone.
Forest, je m'en sers souvent pour forcer des moments sans écrans, je mets la durée maximale, pour donner cette impulsion de "aller, pendant 2h, je m'occupe autrement" et ça fonctionne plutôt pas mal !
C'est au restaurant que le constat est affolant, le nombre de couples avec le téléphone sur la table. Au moindre truc se retrouve le nez sur le téléphone plutôt que de partager un moment ensemble, je fais vraiment attention maintenant a ne plus le faire.
Je comprends, ça me faisait ça aussi au début. Le FOMO c’est terrible. On m’a appris à désactiver les notifs au boulot, sur Slack. On l’apprend a chaque nouveau dans l’équipe car au debut, on clique sur absolument tous les canaux allumés pour “apprendre” et cela devient addictif et contre-productif.
Purée je te rejoins pour les couples. Je vois vraiment la diff de ne plus avoir le tel. On aborde des sujets plus profonds ou on débat sur de nouveaux sujets. 🤩
Merci pour ton partage! Je m'y reconnais un peu. Je suis venue le plus tard possible au téléphone portable. Je n'ai pas mes mails sur mon tel et j'ai désactivé les notifs. J'ai créé un compte Insta pendant la période coco mais je suis dans un dilemme total en ce moment, c'est pour cette raison principale que je suis venue sur substack. Je ne veux pas que mes contenus soient utilisés par l'imbécillité artificielle... N'étant pas en Europe, je n'ai pas pu m'y opposer fin mai. Rester ou partir d'insta , telle est la question...
Merci Flo pour ton partage ! Tu trouves ton bonheur sur Substack ? Je trouve les contenus plus authentiques et plus construits. C'est une plateforme où l'on peut aussi prendre son temps, sans pression. 😊
Salut Margaux, oui il y a plus de profondeur que sur Insta de manière générale. Beaucoup moins d'interactivité par contre. Je suis encore à trouver mes marques peut-être. Je débute ici. Merci pour ton message!
Oser ce retour d’expérience va faire écho chez plein d’entre nous.
Pour ma part, ce déficit de l’attention n’est pas intervenu avec les réseaux sociaux mais avec l’arrivée d’internet dans les années 2000.
C’était alors cette nouvelle fenêtre qui allait remplacer la télé car on avait alors la possibilité de gérer ses surfs et ses lectures.
Alors que la télé, on subissait une grille de programme, et si vraiment plus rien ne nous plaisait on quittait alors l’écran.
L’arrivée d’internet a eu des conséquences sur mon quotidien : en pleine création d’entreprise, au lieu d’être « focused », j’ai erré de site en site pour revenir à la maison, frustré de ne pas avoir accompli ce que j’imaginais en début de journée.
Agacé, ce sont mes deux grands enfants qui en faisaient les frais de ne pas avoir un papa dispo.
On sous estime encore très largement l’impact négatif d’utiliser ce type de ressources maladroitement.
Merci Yann pour ton retour d'expérience ! Je vois totalement l'effet d'Internet. Cela a commencé comme ça aussi chez moi, finalement. Mon papa adore les nouvelles technologies donc j'ai été très vite absorbée par le PC et les jeux vidéos. En primaire, c'était de chouettes parties avec mon père et mon frère, au collège c'est devenu un refuge, surtout avec les débuts de Youtube. Internet est une source très riche de contenus, il faut juste réussir à garder une certaine distance et c'est de moins en moins simple avec l'évolution des algorithmes qui font tout pour nous garder sur les plateformes.
Quelle est ta relation à Internet aujourd'hui ?
C’est que beaucoup de ces « ressources » sont des apps qui n’ont pas du tout été conçues pour nous faire grandir ou nous enrichir mais pour nous rendre captifs.
Elles utilisent notre câblage neuronal et nos biais cognitifs comme notre besoin viscéral de trouver de l’information autour de nous !
Vous rendre compte de ce que ça vous à couté et l’impact que cela a eu sur vos enfants, c’est un pas immense.
Bonjour Margaux, Team 1983 donc j'ai passé mon enfance et mon adolescence à jouer dehors avec mes copines, à faire du vélo. Les réseaux sociaux et les smartphones n'existaient pas à l'époque lol.
Je passe pas mal de temps aussi sur le téléphone mais le soir je regarde la TV avec ma fille, je fais du piano ou je lis. Je suis accro aussi, je ne pourrais pas faire une journée sans, je vais désactiver aussi les notifications de certaines applis, excellente idée !
Merci et RDV au prochain épisode :-)
Team 83 aussi… nostalgie des moments partagés à l’extérieur.
Tu me diras ce que ça donne pour toi de couper les notifs, Carine 😉 ! Je sais qu'au début, on a qu'une seule envie : ouvrir les applications même sans les notifs... mais sur le long terme on apprend à les oublier.
Tres intéressant ! Je suis en plein process de detox aussi en ce moment et donc c’est utile et à point nommé de te lire. Merci 🙏🏼
Merci Mona ! (désolée pour le délai de réponse... ça va dans le sens de ma détox des écrans haha).
Comment t'y prends-tu ? 😊
Et alors ça se passe bien ? Tu as un objectif particulier ou c’est une envie générale ?
Tkt haha, c’est cohérent avec ce que tu fais oui !
Je fais plusieurs trucs :
- pas de tel 1h au réveil
- tel dans une autre pièce la journée
- pas d’Instagram / réseaux la journée
- poster à un moment précis et choisi
- pas de tel le soir 30’ avant de dormir
- pas de tel un dimanche par ci par là
Ah oui, pour moi couper les notifs ça ne fonctionne pas (même si je ne les ai pas réactivées entre temps), j'ai comme un timer dans ma tête qui me dit "tiens, ça fait un moment que tu n'as pas regardé ce qu'il y a de neuf sur ...".
J'arrive à le faire beaucoup moins souvent, mais je sens que j'ai vraiment un automatisme au bout des doigts au moindre signe d'ennui...
Par contre, mettre mon téléphone loin de moi, ça fonctionne bien ! Et heureusement c'est une habitude à laquelle j'arrive à me tenir.
Oui, chacun doit trouver sa méthode. Je comprends tout à fait l'automatisme, on se retrouve plongée dans les applications sans même s'en rendre compte. 😂
Pour moi, le constat de mon addiction a été pendant une retraite de Yoga, où je devais à l'arriver éteindre mon téléphone et le mettre dans une boîte fermée, détenue par notre prof, pour les 4 jours suivants. Ca m'a provoqué une anxiété incroyable en amont, et j'ai été physiquement mal la 1ère journée...
Constat au 4ème jour : j'ai rallumé mon téléphone sans hâte, et... je l'ai re-éteint au bout de 5mn, affolée par les centaines de notifications qui apparaissaient sur mon écran. J'ai encore des moments où je me laisse happer, mais ça m'a permis comme toi de prendre de la distance, et d'être plus dans le moment présent, avec ce/ceux qui compte.nt (ce qui était plutôt une bonne chose, car un heureux événement est arrivé en suivant, avec tous les bouleversements que cela implique)!
Bonne saison des framboises :)
Merci Mélodie pour ton retour d'expérience, c'est radical la retraite de yoga ! 😁 4 jours complets sans téléphone, ça doit faire bizarre au début. Le fait d'être entouré et d'avoir plein d'activités autour doit aider.
Team 83 par ici ! Comme je l’ai lu dans un commentaire, on fait partie de cette jeunesse qui passait ses journées dehors, avec les copains et les copines.
À notre époque, avoir un téléphone portable, c’était déjà une révolution, même avant qu’il ait les fonctionnalités des smartphones.
C’est fou quand on y pense.
Bref, de mon côté, même désactiver les notifications ne suffit plus…
La seule méthode qui fonctionne vraiment pour moi, c’est la manière radicale : j’ai désactivé mes comptes Facebook et Instagram ce matin. (Deuxième fois depuis le début de l’année…).
C’est une vraie drogue, ces réseaux.
Mais je pense que chacun doit trouver sa propre méthode, son propre rythme.
On est tous différents, et il n’y a pas de solution universelle, juste celle qui nous fait du bien.
Née en 1992, forcément j’ai passé une partie de ma jeunesse sans téléphone ni ordi. J’en ai eu un à 12 ans mais seulement pour jouer au sims 2 ! Après j’ai eu un téléphone Nokia pour le collège histoire de prévenir en cas de soucis de bus. J’ai été heureuse de grandi sans tout ça mais quand Facebook, Twitter et Instagram sont arrivés , forcément j’ai fait comme tout le monde, j’ai testé et je suis aussi vite devenu accro mais en ayant toujours beaucoup de recul. Aujourd’hui vivant seule dans mon appartement et n’ayant que des amies en ligne et personnes dans la réalité, heureusement que les réseaux sociaux sont là mais au final ils laissent un grand vide chez moi malgré tout. C’est un cercle vicieux quand la solitude frappe mais j’essaye toujours de ne pas tomber dans le piège du scroll infini (spoiler : c’est pas toujours les jours une victoire).
Un très bon post et très beau compte que je découvre petit à petit ☺️🤍
Un sujet qui peut sembler anodin, mais c'est une vraie préoccupation pour nombre d'entre nous ! Quand on devient parent et que les enfants grandissent, c'est aussi souvent source de tensions 😬. J'en ai fait une newsletter : Les écrans de la discorde 🤪